Au-delà de l'intuition, communiquer stratégiquement
Piloter un projet, ce n'est pas gérer des tâches...
c'est guider des cerveaux.
Anticipation des résistances (biais cognitifs, surcharge mentale)
Clarification des objectifs grâce à une reformulation stratégique
Analyse des parties prenantes notamment sous l'angle émotionnel
Réduction du stress d’équipe par une structuration du travail respectant les capacités attentionnelles
Repérage des signaux faibles (freins, attentes implicites)
Pourquoi utiliser les neurosciences pour de la gestion de projets ?
Adapter le leadership à la diversité cognitive
Chaque cerveau est unique.
Les préférences cérébrales diffèrent selon les individus (par exemple, certains préfèrent une approche analytique, d'autres une approche intuitive). Il est donc plus efficient d’adopter un style de management personnalisé en tenant compte des forces, des préférences et des styles de travail de chaque membre de l’équipe.
Les tests de personnalité (MBTI, DISC) ou les préférences d’apprentissage pour mieux comprendre et mobiliser votre équipe peuvent se révéler utiles.
Créer un environnement de travail motivant
Le cerveau cherche des récompenses.
Le système de récompense, principalement régulé par la dopamine, influence fortement la motivation. Les objectifs clairs, fractionnés en petites étapes atteignables et les petites victoires, surtout si elles sont célébrées, libèrent de la dopamine, renforçant l'engagement et maintiennent la motivation.
Ex : Méthode Agile
Améliorer la prise de décision collective
Le cerveau est biaisé, mais collaboratif.
Iil est utile de structurer les discussions en adoptant des perspectives multiples autour d’analyses objectives. Il ne faut pas oublier que certains biais cognitifs, comme le biais de confirmation ou le biais d’ancrage, influencent les décisions. De plus, les émotions jouent un rôle clé : favoriser un climat émotionnel positif en s’écartant des jugements rapides ou des critiques négatives, évite d’activer les zones du cerveau associées au stress.
Ex : Méthode des "Six chapeaux de la réflexion »
Favoriser la collaboration grâce à l'empathie
Le cerveau est câblé pour l’empathie.
Nos neurones miroirs permettent de ressentir les émotions des autres, renforçant la connexion sociale. Il est donc intéressant d’organiser des activités de team building, de même qu’encourager une communication non violente et empathique pour résoudre les conflits et renforcer la cohésion d’équipe. Cela permet aussi l’activation de l’ocytocine qui améliore la confiance et la coopération.
Réduire le stress pour une meilleure performance
Le cerveau est bloqué par le stress
Le stress bloque les fonctions exécutives et le cortisol, l’hormone du stress, altère la mémoire de travail, la créativité et la prise de décision. Il est donc nécessaire de garder une charge de travail équilibrée pour éviter l’épuisement professionnel et de créer un environnement où les membres de l’équipe se sentent en sécurité psychologique, ce qui diminue l’anxiété et améliore la créativité. Intégrer des pauses régulières et des pratiques de gestion du stress, comme des exercices de respiration ou de pleine conscience peut se révéler une bonne stratégie.
Améliorer la mémorisation et la transmission des informations
Le cerveau retient mieux les informations visuelles et émotionnelles.
Celles-ci activent de nombreuses zones du cerveau qui facilitent la compréhension et la mémorisation.
Utiliser des supports visuels (infographies, schémas) pour communiquer des idées complexes et raconter des histoires concrètes pour expliquer les objectifs du projet ou motiver l’équipe permet de mieux capter l’attention de l’auditoire.
Par ailleurs, limiter la surcharge cognitive en priorisant les informations essentielles rend la concentration plus efficace et assure une meilleure gestion des tâches à effectuer.
Soutenir l’innovation par la stimulation cognitive
Le cerveau est plastique et créatif.
Il s’adapte en permanence et génère de nouvelles idées lorsqu’il est exposé à des défis et à un environnement stimulant. Les sessions de brainstorming libres, où les idées sont acceptées sans jugement initial devraient être encouragées.
Il peut aussi être stimulant d’introduire des moments d’exploration en dehors du cadre habituel, comme des ateliers ou des échanges inter-équipes, pour déclencher des idées nouvelles.
Envie d’un pilotage de projet qui anticipe les résistances humaines et s’appuie sur la cognition ?
Contactez-moi pour co-construire une feuille de route claire et engageante.
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